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ISABELLE GIROLLET france
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"ABSTRACTION PHOTOGRAPHIQUE"
Elle entre à 18 ans comme assistante d’Olivier Dassault, photographe.
Elle y restera huit ans et une vingtaine d’années dans les domaines de la publicité (Musée Nationaux, Danone, Bébé Mustela, Textiles..(Catimini, Designers Guild, Canovas,Elvé), et de l’édition Stock, Fayard (Le Sénat, Fatima Hall, Régine Desforges, Château Palmer ...).
Passée au numérique, son travail évolue naturellement vers l’abstraction, avec cette même exigence du cadrage, de la lumière et des rapports de couleur.
Issue d’une réalité, sa photographie puise dans les réalisations des architectes et des designers toute son énergie. Par la lumière, elle transforme la réalité banale en une fiction poétique et abstraite.
Sa motivation, fait la passion, voire la jouissance qu’elle ressent lorsque son œil découvre et saisit ces instants de lumière éphémère en alchimie avec les éléments graphiques… et de les partager !
Après avoir défini un pays, une ville, un quartier, elle part arpenter les rues, joyeuse, l’estomac un peu noué (par crainte de ne rien voir ?).
Son regard faisant abstraction de l’agitation urbaine. elle guette, comme un lion patient, de capter l’émotion tant rechercher ou la vibration avec son sujet.
Son œil naturellement évolue et s’affine avec le temps. Ses exigences sur son travail engendrent de plus en plus de difficultés à trouver ses sujets.
Ses images sont des moments uniques, planquées au détour d’une rue, d’un recoin … Encore faut il prendre le bon chemin … !!
"L’œil Urbain".
En grand format, son travail prend toute sa dimension. On la retrouve sur des formats de 2m10 de haut à NY, Milan ou bien chez des particuliers... Ses tirages précieusement tirés par Hervé Pain de chez Fotodart, sont ensuite valorisés sous différents supports...
Elle entre à 18 ans comme assistante d’Olivier Dassault, photographe.
Elle y restera huit ans et une vingtaine d’années dans les domaines de la publicité (Musée Nationaux, Danone, Bébé Mustela, Textiles..(Catimini, Designers Guild, Canovas,Elvé), et de l’édition Stock, Fayard (Le Sénat, Fatima Hall, Régine Desforges, Château Palmer ...).
Passée au numérique, son travail évolue naturellement vers l’abstraction, avec cette même exigence du cadrage, de la lumière et des rapports de couleur.
Issue d’une réalité, sa photographie puise dans les réalisations des architectes et des designers toute son énergie. Par la lumière, elle transforme la réalité banale en une fiction poétique et abstraite.
Sa motivation, fait la passion, voire la jouissance qu’elle ressent lorsque son œil découvre et saisit ces instants de lumière éphémère en alchimie avec les éléments graphiques… et de les partager !
Après avoir défini un pays, une ville, un quartier, elle part arpenter les rues, joyeuse, l’estomac un peu noué (par crainte de ne rien voir ?).
Son regard faisant abstraction de l’agitation urbaine. elle guette, comme un lion patient, de capter l’émotion tant rechercher ou la vibration avec son sujet.
Son œil naturellement évolue et s’affine avec le temps. Ses exigences sur son travail engendrent de plus en plus de difficultés à trouver ses sujets.
Ses images sont des moments uniques, planquées au détour d’une rue, d’un recoin … Encore faut il prendre le bon chemin … !!
L’œil Urbain.
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Sensible à la prise de vue photographique depuis son adolescence, Isabelle Girollet poursuit dans cette voie.Elle entre à 18 ans comme assistante d’Olivier Dassault, photographe.
Elle y restera huit ans et une vingtaine d’années dans les domaines de la publicité (Musée Nationaux, Danone, Bébé Mustela, Textiles..(Catimini, Designers Guild, Canovas,Elvé), et de l’édition Stock, Fayard (Le Sénat, Fatima Hall, Régine Desforges, Château Palmer ...).
Passée au numérique, son travail évolue naturellement vers l’abstraction, avec cette même exigence du cadrage, de la lumière et des rapports de couleur.
Issue d’une réalité, sa photographie puise dans les réalisations des architectes et des designers toute son énergie. Par la lumière, elle transforme la réalité banale en une fiction poétique et abstraite.
Sa motivation, fait la passion, voire la jouissance qu’elle ressent lorsque son œil découvre et saisit ces instants de lumière éphémère en alchimie avec les éléments graphiques… et de les partager !
Après avoir défini un pays, une ville, un quartier, elle part arpenter les rues, joyeuse, l’estomac un peu noué (par crainte de ne rien voir ?).
Son regard faisant abstraction de l’agitation urbaine. elle guette, comme un lion patient, de capter l’émotion tant rechercher ou la vibration avec son sujet.
Son œil naturellement évolue et s’affine avec le temps. Ses exigences sur son travail engendrent de plus en plus de difficultés à trouver ses sujets.
Ses images sont des moments uniques, planquées au détour d’une rue, d’un recoin … Encore faut il prendre le bon chemin … !!
"L’œil Urbain".
En grand format, son travail prend toute sa dimension. On la retrouve sur des formats de 2m10 de haut à NY, Milan ou bien chez des particuliers... Ses tirages précieusement tirés par Hervé Pain de chez Fotodart, sont ensuite valorisés sous différents supports...
about the photographer
Sensible à la prise de vue photographique depuis son adolescence, Isabelle Girollet poursuit dans cette voie.Elle entre à 18 ans comme assistante d’Olivier Dassault, photographe.
Elle y restera huit ans et une vingtaine d’années dans les domaines de la publicité (Musée Nationaux, Danone, Bébé Mustela, Textiles..(Catimini, Designers Guild, Canovas,Elvé), et de l’édition Stock, Fayard (Le Sénat, Fatima Hall, Régine Desforges, Château Palmer ...).
Passée au numérique, son travail évolue naturellement vers l’abstraction, avec cette même exigence du cadrage, de la lumière et des rapports de couleur.
Issue d’une réalité, sa photographie puise dans les réalisations des architectes et des designers toute son énergie. Par la lumière, elle transforme la réalité banale en une fiction poétique et abstraite.
Sa motivation, fait la passion, voire la jouissance qu’elle ressent lorsque son œil découvre et saisit ces instants de lumière éphémère en alchimie avec les éléments graphiques… et de les partager !
Après avoir défini un pays, une ville, un quartier, elle part arpenter les rues, joyeuse, l’estomac un peu noué (par crainte de ne rien voir ?).
Son regard faisant abstraction de l’agitation urbaine. elle guette, comme un lion patient, de capter l’émotion tant rechercher ou la vibration avec son sujet.
Son œil naturellement évolue et s’affine avec le temps. Ses exigences sur son travail engendrent de plus en plus de difficultés à trouver ses sujets.
Ses images sont des moments uniques, planquées au détour d’une rue, d’un recoin … Encore faut il prendre le bon chemin … !!
L’œil Urbain.
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