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François BERRUE francePhoto © François BERRUE
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Plongeon cosmogonique
Présentation de la série :
« Avec le symbolisme de l’œuf, on touche aux mystères de la création et de la vie.
Il nous fait aller dans une dimension très paradoxale, celle du passage entre le chaos et le monde
différencié, quand les choses commencent à venir à l’existence, le moment où tout est encore
possible... » Brigitte Boudon, enseignante en philosophie, fondatrice des Jeudis Philo à Marseille.
Mon moyen d’expression c’est la photographie mais dans la réalisation je cherche à dépasser le support. La lumière a une grande importance, la lumière c’est la vie.
Je ne m’attache pas aux limites théoriques, je les franchis aisément (les blancs peuvent être cramés)
La première image naît souvent d’une vision, d’une intuition. Après, elle devient réfléchie. C’est l’image qui m’amène à dire quelque chose, à partager mes perceptions du monde.
Les images créées peuvent alors s’apparenter à de la peinture ou à du graphisme. Elles peu-vent être aussi abstraites. Elles offrent ainsi la possibilité à chacun de se les réapproprier, d’ouvrir un espace à sa propre création et de voir quelque chose qui va naître à nouveau :
naître de son propre plongeon cosmogonique !
Un deuxième prix lors d’un concours organisé par EDF, me donne l’envie d’aller plus loin.
Dès 1982, je quitte le milieu de la soudure chaudronnerie, et m’installe en tant que photogra-phe à Clermont-Ferrand après avoir racheté un magasin de photo.
En 1985, je débute dans la photo industrielle et publicitaire.
L’espace confiné d’une boutique, ne me permet pas de bouger suffisamment, je construis, en 1988 un studio de 110m2 en zone industrielle d’Aubière (63).
En 1991, je suis le premier photographe en Auvergne équipé avec appareil numérique et sta-tion de retouche.
En 2012, je conçois un nouveau studio de 250 m2, avec un plateau de prise de vues de 140 m2, ergonomique, cosy et chaleureux, qui me libère entièrement des contraintes d’espace.
Depuis 2016 je travaille sur mes expositions – Errance nocturne – à Pied d’œuvre – Verre brisé, Pluie brisée - Plongeon cosmogonique
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Ttre de la série : « Plongeon Cosmogonique »Présentation de la série :
« Avec le symbolisme de l’œuf, on touche aux mystères de la création et de la vie.
Il nous fait aller dans une dimension très paradoxale, celle du passage entre le chaos et le monde
différencié, quand les choses commencent à venir à l’existence, le moment où tout est encore
possible... » Brigitte Boudon, enseignante en philosophie, fondatrice des Jeudis Philo à Marseille.
Mon moyen d’expression c’est la photographie mais dans la réalisation je cherche à dépasser le support. La lumière a une grande importance, la lumière c’est la vie.
Je ne m’attache pas aux limites théoriques, je les franchis aisément (les blancs peuvent être cramés)
La première image naît souvent d’une vision, d’une intuition. Après, elle devient réfléchie. C’est l’image qui m’amène à dire quelque chose, à partager mes perceptions du monde.
Les images créées peuvent alors s’apparenter à de la peinture ou à du graphisme. Elles peu-vent être aussi abstraites. Elles offrent ainsi la possibilité à chacun de se les réapproprier, d’ouvrir un espace à sa propre création et de voir quelque chose qui va naître à nouveau :
naître de son propre plongeon cosmogonique !
about the photographer
Passionné de Photo depuis l’âge de 10 ans, un Instamatic 25 Kodak en main, je participe à mon premier concours photo dans les rues de la ville d’Orléans où je suis né.Un deuxième prix lors d’un concours organisé par EDF, me donne l’envie d’aller plus loin.
Dès 1982, je quitte le milieu de la soudure chaudronnerie, et m’installe en tant que photogra-phe à Clermont-Ferrand après avoir racheté un magasin de photo.
En 1985, je débute dans la photo industrielle et publicitaire.
L’espace confiné d’une boutique, ne me permet pas de bouger suffisamment, je construis, en 1988 un studio de 110m2 en zone industrielle d’Aubière (63).
En 1991, je suis le premier photographe en Auvergne équipé avec appareil numérique et sta-tion de retouche.
En 2012, je conçois un nouveau studio de 250 m2, avec un plateau de prise de vues de 140 m2, ergonomique, cosy et chaleureux, qui me libère entièrement des contraintes d’espace.
Depuis 2016 je travaille sur mes expositions – Errance nocturne – à Pied d’œuvre – Verre brisé, Pluie brisée - Plongeon cosmogonique
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