honorable mention
Delphine Huy france
title
à fleur d'écorce
Depuis, j’ai réalisé ce rêve de partir explorer l’ « infini ».
J'ai longtemps tellement mitraillé que je ne profitais plus de ce que je voyais. Après une cure de désintox de quelques années où je n'ai plus pris d'appareil avec moi, je me suis remis à la photo avec mon smartphone. Plus léger, accessible à tout instant, il m'a guéri de la peur de "louper" THE photo...
Aujourd'hui, photographier est un moyen pour moi de m'ancrer dans le moment présent, laisser vagabonder mon regard et aller à la rencontre de ce qui est là...
La série de photos que je vous présente est l'histoire d'une rencontre avec les séquoias géants et les arbres du parc de Yosemite.
Pourquoi ces arbres, pourquoi cette partie de son écorce ? Je ne saurais dire si ce n'est que je me suis laissée guider par l'instant...
C'est en regardant à nouveau les photos que j'avais prises et en les retouchant pour améliorer la lumière et la saturation que l'invisible est apparu... des couleurs incroyables comme si chacun de ces arbres avait souhaité me montrer qu'à rester sur les évidences on en oublie ce qui est invisible à celui qui ne s'installe pas dans l'instant... pour juste écouter ce qui est là.
Depuis, j’ai réalisé ce rêve de partir explorer l’ « infini ».
J'ai longtemps tellement mitraillé que je ne profitais plus de ce que je voyais. Après une cure de désintox de quelques années où je n'ai plus pris d'appareil avec moi, je me suis remis à la photo avec mon smartphone. Plus léger, accessible à tout instant, il m'a guéri de la peur de "louper" THE photo...
Aujourd'hui, photographier est un moyen pour moi de m'ancrer dans le moment présent, laisser vagabonder mon regard et aller à la rencontre de ce qui est là...
back to gallery
entry description
C’est derrière une porte fenêtre qu’adolescente, j’ai passé des heures à contempler l’horizon. Je voyais dans cet infini une porte vers la liberté, une limite qu’un jour j’espérais pouvoir franchir pour aller voir ce qu’il y avait au-delà ... C’est depuis ce poste frontière que j’ai photographié mon tout premier coucher de soleil... C’était avec le vieux reflex de mon père... Je me souviens que j’étais fière de l'avoir réussie : l’ambiance, la lumière, les contrastes étaient fidèles à ce que j’avais perçu de cet instant.Depuis, j’ai réalisé ce rêve de partir explorer l’ « infini ».
J'ai longtemps tellement mitraillé que je ne profitais plus de ce que je voyais. Après une cure de désintox de quelques années où je n'ai plus pris d'appareil avec moi, je me suis remis à la photo avec mon smartphone. Plus léger, accessible à tout instant, il m'a guéri de la peur de "louper" THE photo...
Aujourd'hui, photographier est un moyen pour moi de m'ancrer dans le moment présent, laisser vagabonder mon regard et aller à la rencontre de ce qui est là...
La série de photos que je vous présente est l'histoire d'une rencontre avec les séquoias géants et les arbres du parc de Yosemite.
Pourquoi ces arbres, pourquoi cette partie de son écorce ? Je ne saurais dire si ce n'est que je me suis laissée guider par l'instant...
C'est en regardant à nouveau les photos que j'avais prises et en les retouchant pour améliorer la lumière et la saturation que l'invisible est apparu... des couleurs incroyables comme si chacun de ces arbres avait souhaité me montrer qu'à rester sur les évidences on en oublie ce qui est invisible à celui qui ne s'installe pas dans l'instant... pour juste écouter ce qui est là.
about the photographer
C’est derrière une porte fenêtre qu’adolescente, j’ai passé des heures à contempler l’horizon. Je voyais dans cet infini une porte vers la liberté, une limite qu’un jour j’espérais pouvoir franchir pour aller voir ce qu’il y avait au-delà ... C’est depuis ce poste frontière que j’ai photographié mon tout premier coucher de soleil... C’était avec le vieux reflex de mon père... Cette photo je ne sais plus où elle est mais je me souviens que j’étais fière de l'avoir réussie : l’ambiance, la lumière, les contrastes étaient fidèles à ce que j’avais perçu de cet instant.Depuis, j’ai réalisé ce rêve de partir explorer l’ « infini ».
J'ai longtemps tellement mitraillé que je ne profitais plus de ce que je voyais. Après une cure de désintox de quelques années où je n'ai plus pris d'appareil avec moi, je me suis remis à la photo avec mon smartphone. Plus léger, accessible à tout instant, il m'a guéri de la peur de "louper" THE photo...
Aujourd'hui, photographier est un moyen pour moi de m'ancrer dans le moment présent, laisser vagabonder mon regard et aller à la rencontre de ce qui est là...
back to gallery